Le squelette humain possède un certain nombre de fonctions, comme la protection des organes et le port du poids. Les différents types d'os présentent des formes diverses en lien avec leur fonction spécifique.
Quels sont donc les différents types d'os ? Comment sont-ils catégorisés ?
Le squelette comporte cinq types d'os : plat, long, court, irrégulier et sésamoïde.
Étudions chaque type et observons des exemples.
Les os du squelette humain sont divisés en deux groupes. Le squelette appendiculaire regroupe tous les os composant les membres inférieurs et supérieurs, ainsi que les ceintures scapulaires et pelvienne. Le squelette axial comprend tous les os situés le long de l'axe longitudinal du corps. Parcourons cet axe vers le bas afin d'en apprendre davantage sur ces structures et sur les os qui les composent.
Les os du squelette humain sont divisés en deux groupes. Le squelette axial comprend tous les os (formant des structures osseuses) situés le long de l'axe longitudinal du corps. Les os du squelette appendiculaire constituent le reste du squelette, et portent ce nom car ce sont des « appendices » du squelette axial. Le squelette appendiculaire regroupe les os de la ceinture scapulaire, des membres supérieurs, de la ceinture pelvienne et des membres inférieurs.
Les articulations maintiennent les os du squelette ensemble et favorisent le mouvement. Il existe deux manières de classer les articulations. Il est tout d'abord possible de classer les articulations par fonction articulaire, ou amplitude de mouvement. La deuxième manière de classer les articulations consiste à les trier en fonction du matériau qui relie les os des articulations ; cela permet donc de classer les articulations par structure.
Les articulations du squelette humain peuvent être regroupées par fonction (amplitude de mouvement) ou par structure (matériau). Vous trouverez ci-dessous quelques exemples d'articulations et leur classification.
Le système squelettique, qui regroupe les os, les ligaments et le cartilage, offre une structure au corps. Les pathologies décrites ci-dessous peuvent survenir lorsque le stress et le vieillissement affectent le système squelettique.
Pour faire simple, nos muscles nous permettent de nous mouvoir. Le muscle lisse et le muscle cardiaque bougent afin de faciliter nos fonctions corporelles, telles que les battements du cœur ou la digestion. Le mouvement de ces muscles est dirigé par la partie autonome de notre système nerveux (c'est-à-dire, les nerfs contrôlant les organes). Les muscles squelettiques déplacent notre corps dans l'espace. Ils reçoivent des instructions directes de la part des nerfs spécifiques qui innervent chaque muscle. Vous voulez en savoir plus sur les muscles du corps humain ? Voici cinq autres faits à garder en mémoire.
Vos muscles représentent près de la moitié du poids de votre corps Le tissu musculaire se classe en trois types distincts : squelettique, cardiaque et lisse. Dans le corps humain, chaque type de tissu musculaire possède une structure unique ainsi qu'un rôle spécifique. Le muscle squelettique déplace les os ou d'autres structures. Le muscle cardiaque contracte le cœur afin que celui-ci pompe le sang. Le tissu musculaire lisse qui constitue des organes tels que l'estomac ou la vessie change de forme afin de faciliter les fonctions corporelles. Vous trouverez ici davantage d'informations concernant la structure et la fonction de chaque type de tissu musculaire présent dans le corps humain.
Le corps humain comporte plus de 600 muscles. L'apprentissage du système musculaire implique souvent la mémorisation de détails à propos de chaque muscle, tels que les sites de fixation d'un muscle sur les os ou la manière dont un muscle permet le mouvement d'une articulation. Dans les manuels ou lors de conférences, ces informations concernant les muscles sont décrites au moyen d'un vocabulaire spécialisé et difficile à comprendre. En voici un exemple : le triceps brachial possède trois chefs présentant diverses origines (scapula et humérus) et une insertion (ulna). C'est un protagoniste de l'extension du coude. L'anconé agit comme un muscle synergiste dans l'extension du coude.
Comment les os du squelette humain bougent-ils ? Les muscles squelettiques se contractent et se relâchent pour mouvoir mécaniquement le corps. Les messages émis par le système nerveux provoquent ces contractions musculaires. L'intégralité du processus porte le nom de mécanisme de la contraction musculaire. Ce mécanisme peut être synthétisé en trois étapes :
Les muscles nous permettent de bouger. Cependant, il arrive parfois que l’usure liée aux mouvements de notre corps entraîne des troubles du système musculaire. Vous trouverez ci-dessous certaines des pathologies musculaires les plus courantes.
Le tunnel carpien correspond au passage du poignet où, par le biais d’un étroit orifice, s’acheminent le nerf médian et les tendons des fléchisseurs. On parle de syndrome du canal carpien (ou compression du nerf médian) lorsque les tendons s’enflamment, entraînant une compression du nerf médian. Les symptômes regroupent douleur, engourdissement et éventuellement faiblesse de la main. Le syndrome du canal carpien peut survenir pour diverses raisons, notamment une prédisposition héréditaire, des mouvements répétitifs, un diabète ou des troubles de la thyroïde.
Le cœur pompe le sang à travers un vaste réseau d'artères et de veines. Le sang est un liquide vivant. Il transporte l'oxygène ainsi que d'autres substances essentielles dans tout l'organisme, permet de lutter contre les maladies et effectue d'autres fonctions vitales. Vous trouverez ci-dessous huit faits importants à propos du sang.
Le cœur est un organe musculaire creux pompant le sang oxygéné dans tout le corps, et le sang désoxygéné vers les poumons. Il comporte quatre cavités. L'une des cavités sur la droite reçoit le sang riche en déchets (provenant du corps), et l'autre le pompe en direction des poumons, où les déchets seront expirés. L'une des cavités sur la gauche reçoit le sang riche en oxygène (provenant des poumons), et l'autre pompe ce sang riche en nutriments en direction du corps. Deux valves contrôlent la circulation sanguine au sein des cavités cardiaques, et deux autres valves sont en charge de la circulation du sang quittant le cœur.
Le sang cheminant dans le système circulatoire transporte des nutriments, de l'oxygène et de l'eau en direction des cellules se trouvant dans tout l'organisme. Certes, ce parcours prend naissance et s'achève au niveau du cœur ; toutefois, les vaisseaux sanguins atteignent chaque endroit vital tout au long de leur trajet. Ces artères, veines et capillaires constituent un vaste réseau de « tuyaux ». Si vous mettiez bout à bout tous les vaisseaux sanguins du corps humain, ceux-ci atteindraient une distance d'environ 100 000 km... Soit près de trois fois la circonférence de la Terre !
Pour qu'une personne reste en vie, son sang doit circuler en permanence. Il transporte l'oxygène provenant de l'air que nous respirons et en approvisionne les cellules disséminées dans tout notre organisme. Le pompage qu'effectue le cœur entraîne la circulation du sang dans les artères, les capillaires et les veines. Un ensemble de vaisseaux sanguins fait circuler le sang dans les poumons afin de procéder aux échanges gazeux. Les autres vaisseaux alimentent le reste du corps.
Le système circulatoire, qui porte également le nom de système cardiovasculaire, regroupe le cœur et le réseau de vaisseaux sanguins acheminant le sang dans tout le corps. Plusieurs maladies et troubles peuvent toucher ce système. Vous trouverez ci-dessous certaines des pathologies les plus courantes.
Grâce à la respiration, l'inhalation et l'expiration, le système respiratoire facilite les échanges gazeux entre l'air et le sang, et entre le sang et les cellules de l'organisme. Le système respiratoire nous permet également de sentir les odeurs et de créer des sons. Voici les cinq fonctions principales du système respiratoire.
Le système respiratoire supérieur, ou tractus respiratoire supérieur, est composé du nez et de la cavité nasale, du pharynx et du larynx. Ces structures nous permettent de respirer et de parler. Elles réchauffent et nettoient l'air que nous inspirons : les membranes muqueuses tapissant les structures respiratoires supérieures piègent les particules étrangères, notamment la fumée ou les autres polluants, avant de laisser l'air s'acheminer en direction des poumons.
Le système respiratoire inférieur, ou tractus respiratoire inférieur, est composé de la trachée, des bronches et bronchioles, et des alvéoles, ce qui constitue les poumons. Ces structures reçoivent l'air provenant du système respiratoire supérieur, en absorbent l'oxygène et libèrent en échange le dioxyde de carbone. D'autres structures, notamment la cage thoracique et le diaphragme, protègent et soutiennent ces fonctions.
Il existe deux types de maladies et troubles respiratoires : les affections peuvent être infectieuses ou chroniques. Les infections pulmonaires sont le plus souvent bactériennes ou virales. Lorsqu'elles sont virales, un pathogène se multiplie au sein d'une cellule et provoque une maladie, comme dans le cas de la grippe. En ce qui concerne les maladies chroniques, comme l'asthme, ces dernières sont persistantes et durables. Le patient peut rechuter ou entrer en rémission, et présenter à nouveau des symptômes ultérieurement.
Le système digestif est une sorte d'usine de transformation à l'intérieur du corps. Il absorbe la nourriture et la fait progresser à travers des organes et des structures au sein desquels se produit la transformation. L'énergie et les nutriments dont nous avons besoin sont extraits et le système digestif élimine le reste.
La cavité buccale est délimitée par les dents, la langue, le palais dur et le palais mou. Ces structures constituent la bouche et jouent un rôle majeur dans la première étape de la digestion : l'ingestion. C'est ici que les dents et la langue collaborent avec les glandes salivaires pour dégrader les aliments en de petites masses pouvant être avalées, les préparant ainsi pour leur trajet dans le tube digestif.
Le tube digestif est un tube unique et continu regroupant la cavité buccale, le pharynx, l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle et le gros intestin. Dès que les aliments sont mâchés, rassemblés en un bol alimentaire et avalés, l'action de l'épiglotte achemine ce bol dans l'œsophage. À partir de cet instant, les mouvements péristaltiques propulsent les denrées alimentaires ingérées dans le tube digestif.
Les aliments mâchés dans la cavité buccale, puis avalés, sont acheminés dans l'estomac, où ils sont à nouveau digérés de manière à ce que les nutriments qu'ils contiennent puissent être absorbés dans l'intestin grêle. Les glandes salivaires, le foie et la vésicule biliaire ainsi que le pancréas facilitent le processus d'ingestion, de digestion et d'absorption. Ces organes accessoires de la digestion jouent des rôles cruciaux dans le processus de digestion. Chacun de ces organes sécrète ou stocke des substances qui s'acheminent dans le tube digestif par le biais de canaux.
La nourriture ingérée est mâchée et avalée ; elle passe ensuite dans l'œsophage, puis dans l'estomac, où elle est dégradée en un liquide : il s'agit du chyme. Le chyme passe de l'estomac au duodénum. Il s'y mélange avec de la bile et des sucs pancréatiques, qui dégradent encore davantage les nutriments. Des projections semblables à des doigts, les villosités, tapissent la paroi interne de l'intestin grêle et absorbent la majeure partie des nutriments. L'eau et le chyme restants passent dans le gros intestin, qui met fin au processus d'absorption et élimine les déchets.
Les maladies et les troubles du système digestif peuvent se traduire par une infection ou une lésion au niveau d'organes ou d'autres tissus et structures. Ils peuvent également affecter les actions du système digestif, tels que l'herméticité de l'œsophage aux acides gastriques ou la libre circulation des sucs dans les canaux biliaires. Les symptômes peuvent apparaître au cours de la digestion ou s'avérer chroniques.
Le système lymphatique regroupe un réseau de vaisseaux, de canaux et de nœuds, ainsi que des organes et du tissu diffus qui soutiennent le système circulatoire. Ces structures permettent de filtrer les substances nuisibles issues de la circulation sanguine. Les organes du système lymphatique, tels que la rate, le thymus et les tonsilles, abritent des cellules spécialisées qui détruisent les pathogènes nuisibles.
L'immunité correspond au système de défense de l'organisme contre les infections et les maladies. Les globules blancs jouent un rôle essentiel. Certains se précipitent pour attaquer les microbes nuisibles qui envahissent l'organisme. D'autres se spécialisent et s'adaptent afin de lutter contre des pathogènes spécifiques. Tous ensemble, ils œuvrent afin d'entretenir autant que possible la bonne santé du corps.
Les reins, les uretères, la vessie et l'urètre constituent les structures fondamentales du système urinaire. Ils filtrent le sang et éliminent les déchets de l'organisme sous forme d'urine. La taille et la position des structures du tractus urinaire inférieur varient selon le sexe (masculin ou féminin).
Les reins sont situés en arrière de la paroi abdominale ; ils constituent le point de départ du système urinaire. Ces organes fonctionnent en permanence : les néphrons, de minuscules structures se trouvant au sein des pyramides de Malpighi, filtrent chaque jour des litres de sang. Les reins réabsorbent des substances vitales, retirent les éléments indésirables et renvoient le sang filtré vers l'organisme. Et comme s'ils n'étaient déjà pas assez occupés, les reins fabriquent également l'urine qui permettra d'éliminer tous les déchets !
Les reins filtrent les substances indésirables présentes dans le sang et produisent de l'urine pour les excréter. La formation de l'urine se déroule selon trois étapes principales : la filtration glomérulaire, la réabsorption et la sécrétion. Ces processus garantissent que seuls les déchets et l'excédent d'eau sont évacués de l'organisme.
L'urine produite dans les reins s'achemine dans les uretères pour atteindre la vessie. La vessie se dilate comme une poche élastique afin de contenir davantage d'urine. Lorsque sa capacité maximale est atteinte, le processus de miction débute. Des mouvements musculaires involontaires envoient des signaux au système nerveux, mettant la décision d'uriner sous le contrôle de la conscience.
Les maladies touchant les reins ou la vessie peuvent compromettre les fonctions du système urinaire. Vous trouverez ci-dessous des exemples de pathologies courantes touchant le système urinaire.
Les reins produisent de l'urine destinée à éliminer les déchets. Des calculs rénaux peuvent se former lorsque des sels minéraux et acides présents dans l'urine cristallisent et s'agrègent. Si le calcul est de petite taille, il peut facilement être évacué hors du corps par le système urinaire. Toutefois, un calcul plus gros peut obstruer le tractus urinaire. Un calcul rénal bloqué entraîne des douleurs et peut entraver le flux d'urine.
Le système reproducteur féminin regroupe des organes génitaux externes et internes. La vulve et ses structures constituent les organes génitaux externes. Les organes génitaux internes regroupent quant à eux un système tripartite de canaux : les trompes utérines, l'utérus et le vagin. Ce système de canaux est relié aux ovaires, les principaux organes de la reproduction. Les ovaires fabriquent des ovules et les libèrent afin que ces derniers soient fécondés. Les ovules fécondés se développent ensuite au sein de l'utérus.
Les testicules correspondent aux principaux organes reproducteurs ; ils fabriquent des spermatozoïdes grâce à un processus appelé spermatogenèse. Les glandes du système reproducteur masculin produisent les spermatozoïdes et le liquide séminal. La prostate, les vésicules séminales et les glandes bulbo-urétrales contribuent à transformer le liquide séminal en sperme, qui transporte et protège les spermatozoïdes. Lors des rapports sexuels, le sperme parcourt différents canaux puis finit par être délivré directement au sein du système reproducteur féminin.
Au cours du processus de reproduction, un spermatozoïde masculin et un ovule féminin fournissent les informations nécessaires à la création d'un nouvel être humain. La conception a lieu quand ces cellules s'associent, lors de la fécondation de l'ovule. La grossesse débute dès que l'ovule fécondé s'implante dans l'utérus. L'embryon se développe ; des structures lui offrant soutien et nourriture commencent à l'entourer. Les yeux, les membres et les organes apparaissent au fur et à mesure que l'embryon se transforme en fœtus. Le fœtus se développe dans l'utérus et ce, jusqu'à ce que la grossesse s'achève par l'accouchement et la naissance du bébé. Entre la fécondation et la naissance, tous les systèmes du corps auront été créés, y compris le système reproducteur, qui permettra un jour de donner vie à un autre être humain.
Le système nerveux correspond au système le plus complexe et le mieux organisé du corps. Il reçoit des informations provenant des organes sensoriels par le biais des nerfs, transmet ces informations par l'intermédiaire de la moelle épinière, et les traite dans le cerveau. Le système nerveux dirige les réactions de notre corps face au monde ; il contrôle également la majeure partie de nos fonctions internes, qu'il s'agisse des mouvements de nos muscles à la dilatation de nos vaisseaux, en passant par l'apprentissage de l'anatomie et de faits sur la physiologie. Comment cela est-il possible ? Tout simplement par l'envoi de signaux ultra-rapides, électriques et chimiques, entre les cellules.
Les fonctions les plus complexes du système nerveux dépendent des messages transmis par les neurones. Avec l'aide de leurs cellules de soutien, la névroglie, les neurones constituent l'intégralité du tissu du système nerveux. Ils reçoivent et relaient rapidement les messages, les acheminant sous forme de signaux électriques. Les neurones libèrent alors des neurotransmetteurs, des substances chimiques qui transportent le message au neurone ou au corps cellulaire suivant. Des neurones spécialisés, présents dans la moelle épinière, constituent des voies neuronales qui transmettent rapidement les messages depuis le cerveau, ou en provenance de ce dernier. Poursuivez votre lecture pour en savoir davantage sur ces cellules conductrices.
Le cerveau dirige les fonctions internes de notre corps. Il intègre également des impulsions sensorielles et des informations afin d'élaborer des perceptions, des pensées et des souvenirs. Le cerveau nous permet d'avoir conscience de nous-mêmes et nous offre la capacité de parler et de nous mouvoir dans notre monde. Cela est possible grâce à ses quatre grandes régions : Le télencéphale, avec son cortex cérébral, nous permet d'avoir un contrôle conscient de nos actions. Le diencéphale joue un rôle sur les sensations, est responsable des émotions et commande des systèmes internes entiers. Le cervelet ajuste les mouvements du corps, la coordination du langage et l'équilibre, tandis que le tronc cérébral relaie les signaux issus de la moelle épinière et dirige les réflexes et les fonctions internes fondamentales.
Le système nerveux doit recevoir et traiter des informations issues du monde extérieur afin de réagir, communiquer et entretenir la bonne santé et la sécurité du corps. La majeure partie de ces informations provient des organes sensoriels : les yeux, les oreilles, le nez, la langue et la peau. Des cellules et des tissus spécialisés de ces organes reçoivent des stimuli bruts et les traduisent en des signaux que le système nerveux peut alors utiliser. Les nerfs relaient ces signaux vers le cerveau, qui les interprète comme la vue (vision), l'ouïe (audition), l'odorat (olfaction), le goût (gustation) et le toucher (perception tactile).
Les glandes du système endocrinien sécrètent des hormones dans la circulation sanguine afin d'entretenir l'homéostasie et de réguler le métabolisme. L'hypothalamus et l'hypophyse constituent les centres de commande et de contrôle ; ils dirigent les hormones vers d'autres glandes ainsi que dans tout le corps. Les autres glandes endocrines primaires, telles que la thyroïde ou les glandes parathyroïdes, les glandes surrénales et la glande pinéale, ajustent les concentrations des différentes substances présentes dans le sang et régulent le métabolisme, la croissance, le cycle veille/sommeil et d'autres processus. Des organes comme le pancréas sécrètent également des hormones et contribuent au système endocrinien. Les organes endocriniens secondaires regroupent les gonades, les reins et le thymus.
Les hormones régulent les fonctions internes, du métabolisme à la croissance en passant par le développement sexuel et le déclenchement de l'accouchement. Elles s'acheminent dans la circulation sanguine, se lient aux cellules-cibles et régulent le fonctionnement des tissus et des organes. Tout débute au niveau de l'hypothalamus et de l'hypophyse, les maîtres du système endocrinien. Les hormones qu'ils libèrent contrôlent les sécrétions des autres glandes endocrines et la plupart des fonctions endocrines. Dans l'ensemble du corps, les hormones sont responsables de réactions face au stress ou à d'autres modifications externes, et permettent aux processus courants de se dérouler normalement.
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